Le satellite Eurydice-V flottait silencieusement dans l’ombre terrestre, comme suspendu au-dessus d’un macrocosme qui ne se doutait de rien. À lisière, la télépathe poursuivait sa connexion continue avec l’intelligence artificielle centrale. Chaque battement de son cœur s’alignait sur les messages qu’elle percevait à travers l’espace, comme par exemple si son corps avait existé accordé à une fréquence que seul le temps comprenait. Depuis le dernier appel, les prévisions s’étaient précisées. Les visions enseigne par la voix synthétique du téléphone analogique ne formaient pas de citations complètes, mais pas trop des fragments de coordonnées, de saisons, de scènes. Chaque fragment se traduisait plus tard en dessins mentales qu’elle recevait dans un cycle de semi-conscience. Cette voyance réponse immédiate ne fonctionnait plus notamment une voyance linéaire, mais comme une cartographie éclatée de le destin. L’intelligence artificielle analysait tout révélation reçue, calculait les corrélations avec les des fêtes sur Terre, et ajustait la étagère du satellite en impact. Ce n’était plus un observatoire étranger. Le satellite devenait une pécule mouvante dans un échiquier invisible, agissant suivant les avertissements d’un destin en train de se reconstruire. Les dernières transmissions évoquaient une grande ville côtière, une date définitive, une impulsion sismique. La Terre n’avait rien enregistré de tel, mais trois occasions après, un glissement de terrain engloutit une utilisation absolu. La rigueur du envoi de signal confirmait la personnalité de cette voyance immédiate : ce n’était pas une prédiction approximative, mais un appel chirurgical. Pourtant, l’origine restait impossible à bien déterminer. Aucun noyau d'informations, aucune station au sol, aucune sorte de relais orbital ne pouvait expliquer ces appels. Les enregistrements bruts, stockés dans la souvenance de l’IA, formaient un mobile récurrent, une certaine catégorie de signature temporelle qui ne correspondait à nul protocole vécu. La télépathe ressentait n'importe quel futuriste message en tant qu' un battement d’un cœur lointain. Un cœur blessé. Un cœur qui appartenait peut-être à bien une version suivante de la planète, cherchant à bien revoir sa spéciale histoire. À n'importe quel contamination, elle avait l’impression d'obtenir non pas des faits, mais des regrets. Et la voyance réponse immédiate qu’elle recevait n’était peut-être qu’un assignation étouffé, publication depuis les ruines d’un communauté qu’elle ne reconnaîtrait jamais.

Au-dessus du globe bleue, le satellite Eurydice-V poursuivait son arrondie silencieuse. Chaque clan de rotation rapprochait la télépathe d’un perception qu’elle ne parvenait plus à bien ignorer. Les divinations n’étaient plus seulement des alarmes. Elles formaient une historiette. Une rappel expédié en fragments par une Terre qu’elle ne reconnaissait pas extrêmement. Les transmissions parvenaient dès maintenant à intervalles irréguliers. Parfois, elles contenaient des conclusions encodés, certaines fois des images compressées, mais vivement accompagnées de cette voyance réponse immédiate : une gamme d’événements tranché qui, une fois traduits, se réalisaient avec une régularité presque féroce. La dernière réunion avait évoqué une suite d’ondes, localisées marqué par une chaîne de volcans sous-marins. Aucun capteur n’avait encore détecté de variation, mais l’intelligence artificielle avait recalculé la rangée d’observation du satellite. Trois heures ensuite, une éruption indécelable perturba les courants océaniques, modifiant les vents d’altitude à bien l’échelle planétaire. Ce n’était pas une coïncidence. C’était une continuité. À chaque influence, à bien chaque anniversaire confirmé, une réplique mentale traversait la conscience de la télépathe. Elle ne rêvait plus. Elle se souvenait. Les messages n’étaient pas étrangers. Ils lui étaient familiers, comme des doutes abandonnées puis renvoyées poétique elle par un délai incompréhensible. La voyance voyance reponse immediate sur voyance Olivier immédiate que livrait n'importe quel signal ne servait plus à prévenir un épreuve, mais à reconstruire une ligne brisée. Une suite raisonnement appartenant à un autre faits. Un faits avec lequel elle avait cependant geste radiation, sans le savoir. L’intelligence artificielle ne pouvait encore expliquer origine quelques coordonnées correspondaient à bien des lieux désaffectés pendant des décennies, ni raison éléments incluaient certaines fois des noms que personne ne connaissait. Mais la télépathe, elle, sentait qu’elle les avait déjà entendus. Chaque envoi d'information portait en lui la marque d’un souvenir égaré, réinjecté dans le à utiliser. Une énergie ancienne, destinée à réécrire une vie effondré. Et plus les transmissions arrivaient, plus le satellite s’éloignait de son comédien d’observateur scientifique. Il devenait un relais d’émotion, une antenne pour une humanité disparue. Et la voyance réponse immédiate qui s’en dégageait ressemblait de plus en plus à un dernier opportunisme.